Toulemonde Bochart : focus sur les designers
La rentrée a marqué un temps fort de création et de design, notamment lors de la Paris Design Week, qui a dévoilé un éventail d’innovations et d’événements. Chez Toulemonde Bochart, la maison continue de s’entourer de talents créatifs aux styles et personnalités variés, qui contribuent à la richesse et à la diversité de son offre.
Cette nouvelle collection, fidèle à l’ADN de la Maison, se distingue par ses couleurs éclatantes, ses explorations d’art abstrait, et ses motifs organiques. Chaque création incarne un équilibre subtil entre tradition et innovation, témoignant de l’engagement de Toulemonde Bochart à sublimer la singularité de ses œuvres.
Flow, par Samuel Accoceberry
Le tapis « Flow » intrigue et captive. Sa composition très formelle est accentuée par le traitement en dégradés des rubans qui le composent. Ce dessin signé Samuel Accoceberry a été traduit en volumes et en nuances par la virtuosité de certains des meilleurs artisans indiens. Dans sa version Ocre, « Flow » agit dans l’espace comme un feu de cheminée chaleureux. Dans sa version Aqua, il dynamise et éclaire les lieux les plus épurés, privés comme publics.
La richesse du dessin, par Géraldine Prieur
« Bijoux », « Leo » et « Jungle Forest » : trois modèles aux noms évocateurs, signés Géraldine Prieur, viennent rejoindre la collection de nouveautés Toulemonde Bochart. Coloriste hors pair, l’architecte d’intérieur et designer applique son sens aiguisé des palettes chromatiques à son modèle « Bijoux ». Le blanc et le noir rencontrent des tonalités évidentes de beige et d’orangé, pour un tapis source de lumière dorée dans tous les espaces. Sa composition désaxée et son inspiration directe des années 30 en font une pièce inédite.
Les modèles « Leo » et « Jungle Forest » s’harmonisent et se répondent à travers leurs motifs léopard. Leo exprime le sien avec régularité sur un fond subtilement dégradé, pour un effet réaliste. « Jungle Forest » reprend le même motif mais l’encadre d’une composition foisonnante, luxuriante, représentation d’une faune et d’une flore exotiques vibrantes de vie.
Nucleus, Quiet, par ODA Paris
Ève Ducroq et Arnaud Dollinger insufflent leur audace disruptive à la collection de nouveautés 2025 Toulemonde Bochart. Le duo s’est amusé à réimaginer l’impact extraordinaire que peut avoir un tapis dans un espace. De cette recherche naissent « Nucleus » et « Quiet ».
« Nucleus » arbore d’apaisants tons de miel. Clin d’œil à l’œuvre de Verner Panton, il devient naturellement le noyau de l’espace dans lequel il s’inscrit, à travers ses formes souples et son motif vibrant.
« Quiet » est une pièce minimale. Pour autant, son caractère fort lui offre la prestance d’un classique. À positionner au sol ou au mur, ce tapis apporte à l’espace confort acoustique et plaisir visuel.
Brindille, par le Studio BrichetZiegler
Le tapis « Brindille » naît d’un travail graphique et chromatique approfondi. Inspiré par les tiges de roseaux flottant sur l’eau, ce modèle arbore une composition dynamique et une palette de couleurs savamment élaborée.
Tufté main en laine de Nouvelle-Zélande, Brindille conjugue un graphisme d’une grande richesse et un travail époustouflant des tisserands. Des techniques séculaires, telles que la ciselure et la sculpture des formes réalisées à la main, décuplent le sens et la profondeur de ce tapis.
« Brindille » Printemps arbore des teintes gaies, allant du vert d’eau aux roses affirmés. Brindille Hiver associe des bordeaux profonds et des bleus grisés dans une allégorie plus froide.
Hacienda et Tacubaya, par Florence Bourel
Cette année, les créations de Florence Bourel sont marquées par des lignes graphiques, des couleurs vibrantes et des laines au brillant satiné. De retour d’un voyage au Mexique, elle teinte son travail d’une inspiration puisée auprès des œuvres du célèbre architecte coloriste Luis Barragán.
Le modèle « Hacienda » allie des lignes et des courbes dans une composition équilibrée, hommage à la culture mexicaine. Les couleurs, intensifiées par la texture velours du tapis, suscitent la joie et invitent à la contemplation.
« Tacubaya », du nom d’un quartier de Mexico City, traduit la couleur, l’architecture du lieu et les vibrations qui habitent son atmosphère. Des courbes et des rubans se croisent dans cette composition aussi épurée que créative.
Source : Communiqué de presse 2024